C’est l’ensemble de nos démarches qui fait que notre projet est unique.

Au-delà des projets, nous considérons la vieillesse comme une évolution naturelle de l’homme. Nous voulons nous battre pour que chaque personne âgée garde sa liberté de décider, d’agir et de faire jusqu’au bout.

Dans nos projets, il n’y a aucun service payant. Les habitants se répartissent entre eux les charges nécessaires au bon fonctionnement de la maison.

L’habitat doit être intégré et associé à son quartier sur trois critères :

– Promixité : l’accès aux services de transport, aux commerces, aux services-publics et aux services sanitaires, sociaux et médico-sociaux.

– Mixité : générationnelle et sociale au sein du quartier.

– Ouverture : espaces communs ouverts vers l’extérieur, aux associations.

Nos projets doivent répondre à des problématiques locales.

Plus nous avançons dans l’âge, plus les environnements qui nous entourent ont une incidence sur notre santé.

Au vu du temps que nous passons dans les bâtiments, il apparaît primordial de privilégier une approche de l’acte de construire de manière la plus globale possible. 

Dans notre façon de travailler, notre objectif premier est non seulement de remettre l’humain au coeur du processus d’élaboration, mais aussi d’associer le territoire et les acteurs concernés notamment les associations.

Nos projets accompagnent les futurs habitants en amont de la livraison des logements, après la livraison et sur le long terme.

Nos projets se veulent accessibles socialement et financièrement au plus grand nombre.

Socialement, car notre objectif est de démocratiser le principe d’habitat participatif en l’ouvrant à de nouveaux publics, non-initiés, mais intéressés par ces nouveaux modes d’habiter ; à commencer par les personnes âgées, pour qui l’habitat partagé favorise le maintien à domicile.

Financièrement, car nos locataires pourront accéder à des logements à loyer modéré type PLS. 

Notre démarche est désengagée et se veut contre la marchandisation de la retraite.

Notre projet d’Abbaretz (44) sera porté par une SCIC, Société Coopérative d’Intérêt Collectif. Cette forme juridique assure à chacun, qu’il soit institution ou individu, une place dans le projet, pour s’impliquer et participer aux décisions de gestion et d’évolution.